mercredi 5 décembre 2012

total célébre la journée mondiale de lutte contre le sida



 En marge de la Journée Mondiale du Sida (JMS), le comité chargé de lutte contre le sida au sein de la société total a organisé, en partenariat avec le lycée français Theodore Monod, une journée de d’action et de sensibilisation sur le sida, ce dimanche 2 décembre 2012 à l’institut français de Mauritanie.
Cette journée, placée par l’OMS sous l’objectif Zéro. C'est-à-dire zéro nouvelle infection au VIH, zéro décès dû  au sida et zéro discrimination, s’est déroulée avec la participation de la croix rouge française, le forum mauritaniens des sourds muets et l’association des personnes handicapées.
La thématique SIDA a été abordé sous plusieurs angles : scientifique, artistique, psychologique et sociale. Les élèves du lycée français Theodore Monod et ceux du lycée d’excellence de Nouakchott ont pu suivre des cours présentés par le docteur Soufiane, le docteur barikallah et le docteur Amani, ces derniers ont  expliqué aux élèves que cette journée commémore l’effort de la solidarité déployée à travers le monde, pour lutter contre le Sida. et Ils ont démontré que malgré les efforts déployés pour l’éradication de cette pandémie, selon le bilan de l’ONUSIDA, 41 millions des personnes à travers le monde sont séropositives.

 L’Afrique, quant à elle, est le continent le plus touché. Il y une féminisation de la pandémie. Les femmes et les jeunes filles de 15 à 24 ans, âge de la procréation, sont les plus touchées. « Un appel doit être lancé aux individus, dirigeants politiques, communautés sur leurs engagements à prendre pour lutter efficacement contre la pandémie du Sida », ont t’ils déclaré. Un comportement responsable a été conseillé aux élèves, en vue de se prévenir contre le Sida. Aussi, un dépistage volontaire régulier a  été conseillé. Ceci permet aux séronégatifs de connaître leur état sérologique et aux séropositifs, de commencer une prise en charge nécessaire.
Par ailleurs, ils ont  rassuré que les données épidémiologiques du VIH sida, issues de l’enquête de séroprévalence et les indicateurs du sida  pour la Mauritanie, renseignent une prévalence chez les adultes tous sexes confondus. Et que  cette situation « est aggravée par la co–infection tuberculose/VIH. Un faible taux d’utilisation du préservatif, une méconnaissance du statut sérologique VIH ou encore prépondérante ».
Après les présentations des docteurs, les élèvent ont eux aussi  présenté  un beau spectacle à travers des sketchs sur les méfaits de la maladie du Sida.
 la ceremonie de cloture a recompensé des élèves qui avaient participé au concours sur le sida.40 élèves ont été récompensé par des ordinateurs portable, des dictionnaires, sacs, paquet de cahier et autre objets scolaire.

  

 

 

                                                                     reportage photo 




lundi 26 novembre 2012

Quand j'etais enfant....

Quand j’étais enfant, je croyais que si je mangeais des graines de pastèques, il y aurait tout plein de pastèques qui pousseraient dans mon ventre, quand j’étais enfant, je croyais que les étoiles filantes étaient des morceaux de lune qui se sont décrochés.
Quand j’étais enfant, je ne voulais pas aller à l’école, je croyais que l’école, c’était juste pour énerver les enfants, j’adorais monter sur les arbres pour dénicher les nids d’oiseaux, a placé des pièges pour les attraper, et pourtant je voulais être quelqu’un dans ce pays.
Je disais a mon père, je veux être comme toi, « comment veux-tu être comme moi sans faire l’école ? » il me posait cette question, je n’avais pas de réponse, et je ne répondais pas , chaque matin, c’était un combat entre père et fils, puis toute une famille contre un fils, et finalement le fils n’avait pas le choix, j’avais compris qu’il fallait aller a l’école, et en classe pendant que la prof expliquait les cours, mon esprit se tournais vers les oiseaux. Au soir a la maison en révisant mes cahiers, j’avais les yeux et le cerveau braqués sur les leçons de mes grands-frère, qui pourtant avaient six classe de plus que moi, parfois je me mettais a coté d’eux quand ils lisaient « Afrique mon Afrique »et ça me fascinait, Je retenais pleins de mots, et je récitais beaucoup de phrases par cœur avant même de pouvoir ni lire ni écrire.
Grace a mes frères, petit a petit je commence a oublier les oiseaux et a s’intéresser a la lecture, d’abord de l’alphabet, puis de quelques phrases, alors j’ai dit a mes frères donnaient moi le livre « Afrique mon Afrique » ils m’ont répondu en Pulaar thiolel oppu haa mbaawa mbadaa mojjina,thiolli fo ngoppi ha mbaawi mbadi mojjini (oisillon attend de savoir faire pour faire et bien faire, tous les oisillons ont attendus de savoir faire, ont fait et bien fait).bref ils m’ont répondu avec une phrase ou le nom oiseau est mentionné ,cet oiseau que j’aimais tant, Alors J’ai attendu pendant des années pour pouvoir faire, mais arrivé en classe ou je devais lire Afrique mon Afrique, pas de chance, il y’avait eu une reforme de l’éducation et le livre Afrique mon Afrique a été remplacer par le livre « de la dune au marigot ». A suivre

samedi 24 novembre 2012

Boghé : SOS-Défi droit des femmes forme les leaders communautaires sur le genre et les droits humains

Boghé accueille du 23 au 27 novembre 2012, un atelier de formation au profit d’une vingtaine de femmes axée sur le genre et les droits humains organisée par l’Ong SOS-Défi Droit des Femmes et Développement Durable en partenariat avec l’USAID qui a financé cette session de formation.

La cérémonie d’ouverture a été présidée par M. N’Diaye Djibril, adjoint au maire de la commune de Boghé en présence de Mme, Binta Diouf, vice présidente de l’ong et de M. Diallo Daouda, coordinateur Self Help à l’ambassade des Etats Unis d’Amérique à Nouakchott.

Cet atelier de formation vise à sensibiliser les participantes pour l’essentiel venues des localités des rapatriés et des villages d’accueil sur le genre et les droits humains a indiqué madame Binta Diouf lors de son allocution prononcée à l’ouverture de l’atelier.



L’équité et l’égalité entre les hommes et les femmes pour garantir la paix sociale, le droit à la protection des enfants pour bannir la maltraitance sont entre autres thèmes qui seront abordés avec les participantes par les formateurs, MM. Malal Samba guissé et Mariata Dia au siège de Fabouya dans le quartier de Boghé Dow. Le représentant de l’ambassade des USA a exhorté les femmes à suivre les modules de formation qui leurs seront dispensées afin qu’elles puissent vulgariser le contenu auprès des structures qui les ont mandatées.

Le maire adjoint a quant à lui salué cette initiative de SOS-Défi qui participe à l’éveil des femmes et contribue aussi à provoquer un changement de mentalités chez la gente féminine qui se trouve au cœur des activités de développement de notre pays. Rappelons que participantes sont venues de Dar Salam Oulad Séyid, Wodabé, Houdallaye, Wendou Edi, Seeno Kuna, Bababé et Boghé. Il y’a également de nombreuses représentantes d’Ong de la société civile telle l’AMDH.









La ville de
Pendant cinq jours, les bénéficiaires de cette session de formation vont se familiariser avec les concepts chers aux défenseurs des droits humains tels : droit des femmes en général, droit à la parole, droit à l’éducation, droit à la santé, droit à l’emploi et à la formation, droit à l’éligibilité, droit à la promotion dans les hautes sphères de l’Etat etc .

jeudi 25 octobre 2012

L'Aid El adha: Nouakchott se papare, réportage Photo



Les Mauritaniens à l'instar de la communauté musulmane, préparent la fête de l'Aid El Kébir communément appelé " Tabaski ". Une fête qui exige le sacrifice du mouton pour respecter le geste d'Abraham. Ce rituel musulman qui intervient deux mois après la célébration du Ramadan, nécessite des dépenses exorbitantes pour la plupart des chefs de famille. En Mauritanie, par la conjoncture qui court et le contexte social corolaire d'un faible pouvoir d'achat du citoyen, la situation semble très difficile pour bon nombre de mauritaniens qui doivent immoler le mouton. Les marchés de bétail, de denrées et d'habits grouillent de monde à la recherche de l'aliment, de l'article ou du mouton le moins cher ou qui semble être à la portée des intéressés. fête
Nous sommes à 24 heures  de la tabaski, les mauritaniens se préparent,  Certains citoyens voire même étrangers qui vivent parmi nous, ont quitté la capitale pour l'intérieur ou leurs pays respectifs. Un tour de marché a permis d'avoir une idée provisoire du casse-tête des acheteurs qui défilent entre les marchés de la capitale et ceux des banlieues de Sebkha et d'El Mina. "Les prix sont devenus très élevés par rapport à l'année dernière. Je n'arrive pas à acheter des habits pour tout le monde " lance un homme, la quarantaine, visiblement ébahi par la spéculation des prix. Plus loin, des femmes traînant avec elles leurs enfants, fixent leurs regards sur les articles neufs sans piper mot. " Que désirez-vous mesdames ? Leur adresse un commerçant qui dépoussière tranquillement sa boutique. "Nous cherchons des habits, des bijoux pour nos enfants et pour nous-mêmes ". Lui répondirent-elles. Mais devant la flambée des prix, elles ne savent à quel saint se vouer. A chaque évènement, il  y a certains que la situation profite. Comme les commerçants, les tailleurs en dépit des veillées nocturnes, lèvent la barre haute sur le prix de la couture notamment féminine. Mais ils sont gagnants dans tous les cas. Car, les femmes ne lésinent pas sur les moyens au détriment de leurs maris qui se prennent la tête devant un récapitulatif financier sur les articles à acheter sans compter le mouton. " Je ne dors pas depuis quelques jours, mais je gagne bien en dépit du manque d'argent " déclare Mbaye Diop, un tailleur sénégalais dans un vrombissement de machines borderies. " Tu vois, on nous taxe cher alors qu'il n'y a pas d'argent. Moi, mon mari vient d'un congé et il est extrêmement difficile pour nous de préparer la fête avec surtout cette conjoncture " déplore-t-elle, le visage crispé devant l'intransigeance du tailleur Mbaye de ne pas revoir à la baisse le prix de la couture. Du côté des coiffeuses, c'est également les veillées nocturnes. Mami comme l'appellent toutes les femmes trouvées sur place au salon, est à cheval entre deux têtes à tresser pendant que les autres attendent leur tour, visiblement éprouvées par la fatigue de l'interminable attente. Tout le monde subi donc la pression de la fête. Les pères de familles en souffrent davantage. Eux, qui sont tenus de supporter les frais y afférents.
Les moutons au prix d'or
Les moutonniers sont ceux-là qui se frottent les mains en voyant venir les hommes à pas lents. Un signe qui indique que la situation va mal pour ces inconditionnels de la fête. Tout le bétail de moutons qui grouillent à la périphérie d'El Mina n'est pas à la portée de toutes les bourses. Dès qu'on indique un mouton, vous êtes tenté de faire marche arrière tellement les prix sont élevés. Des prix qui commencent à partir de 30.000 la bête, ne sont pas à la portée de n'importe qui, commente un acheteur. " Je viens d'acheter ce mouton à 37.000 ouguiyas
" lance-t-il indiquant la bête. Les plus nantis débroussent jusqu'à 50.000 ouguiyas ou plus pour un mouton. Quid des pauvres qui n'arrivent pas à assurer les trois repas journaliers? Mieux, le SMIG est à 30.000 ouguiyas, imaginez un père de famille ouvrier ou docker qui doit assurer l'habillement de toute une famille ajouté en cela, la location ou  la facture d'électricité qui tombe au même moment de la fête. Les vendeurs justifient les prix par la cherté du transport des bêtes et la faiblesse de la pluviométrie occasionnant une véritable transhumance pour nourrir le bétail. Nonobstant cette situation d'infortune, la fête avance et la pression monte sur tous les chefs de familles.


                          Les salons de coiffure tirent leur épingle du jeu
  

À 24 heures de la fête  c’est la course contre la montre  pour se faire une beauté rare pour la Tabaski. Ainsi, des jeunes filles aux femmes mariées en passant par les driankés, toutes s’adonnent à une concurrence de coiffure qui ne dit point son nom. L’ambiance de fête se fait sentir auprès des salons de coiffure, certaines coiffeuses parviennent à tirer leur épingle du jeu, tandis que d'autres subissent les rigueurs de la concurrence déloyale des tresseuses qui opèrent à domicile. Si certaines personnes font des va-et-vient entre le marché et leur couturier, d'autres, par contre, vont acheter des greffages, des mèches dans les magasins de produits de beauté pour se faire belle dans les salons de coiffure. Chez Zora, situé au marché du 5eme arrondissement, spécialisé dans la vente de produits cosmétiques, c’est à peine si l'on peut identifier les personnes à cause de la forte affluence. Les marchandages changeaient du décor habituel. Hawa, une jeune fille, a déjà mis la main sur le greffage de son choix. «Je suis venue acheter le greffage Bijou pour préparer la fête», dit-elle. Elle a choisi ce greffage «parce qu'il est souple, joli et pas cher», explique-t-elle avant de confier que le paquet est à 1500 Um. Et qu’avec deux paquets seulement, il est possible de se faire une jolie coiffure.
Très débordé à s'occuper de sa clientèle, Ibrahim, l'un des vendeurs du magasin, la chemise mouillée de sueur, explique les tendances à la mode de cette année. «En cette période de fête, ce sont les greffages Rosa, Tina et Bijou qui marchent le plus. Les filles viennent tous les jours en acheter. Il y a le synthétique et l'original, mais tout marchent pour le mieux», révèle Ibrahima qu’il ajoute qu'il y a aussi les mèches simples, les perruques «Miss Tigo» que les filles adorent.
                          Les femmes, tiennent à porter des habits neufs.

Il est 13 heures,a la Socogim ps, nous entrons dans un atelier de couture, « Kara Couture  », cet atelier est très fréquenté par la gent féminine. , en cet après-midi de jeudi. L’ambiance est aussi rythmée par le bruit des machines à coudre. Dans un contexte de préparatifs de la fête de tabaski, l’endroit grouille de monde plus que d’habitude. Les clients viennent, qui pour récupérer leurs habits, Selon aline fall, un tailleur de l’Atelier, le décor est le même, en ces veilles de fête : « pendant les fêtes de korité et de Tabaski, c’est toujours comme ça : les clients sont nombreux. C’est des habitués des lieux pour la plupart, mais il y a d’autres qui viennent pour la première fois, juste pour l’occasion », explique-t-il. Dans cet atelier, sont exposés des habits en modèle traditionnel, prêts à être livrés à leurs propriétaires. Il faut noter dans cet atelier, les clients ne se font pas désirer. Cependant, les tailleurs sont sommés de respecter leurs engagements et de livrer les commandes à temps, sous peine de s’attirer d’interminables disputes des femmes, qui ne demandent qu’à être belles le jour de la tabaski. Ce, à tout prix.



 Djigo et emira

                                                                  reportage Photo


























                                                                         

lundi 22 octobre 2012

la rédactrice en cheffe de Citymag victime d'un cambriolage

YD, âgé d’une trentaine d’années est un repris de justice pour des affaires de cambriolage qui avait déjà purgé 11 fois en prison pour des délits de ce genre. Dans la nuit du mardi 16 au mercredi 17 octobre, il a renoué avec ses vieux démons en cambriolant la maison de la rédactrice en cheffe du magazine citymag, située non loin de la Galerie Tata. Alors que celle-ci dormait profondément dans sa chambre bien fermée, YD s’est dirigé dans d’autres chambres et a eu la chance de trouver un ordinateur portable, un appareil photo et une somme de 80. 000 UM avant de disparaître. Mais cette chance l’abandonne soudainement pour laisser place à une incroyable malchance quand il fut aperçu vers l’Hôpital National, en direction du 5ème arrondissement  par une patrouille de la police. Interrogé par les policiers sur sa destination et sa provenance, YD dit être un pécheur et qu’il se rendait au Port pour son travail. Mais quand les policiers lui ont fait ouvrir son sac, en voyant l’ordinateur portable, ils ont compris qu’ils n’avaient pas affaire à un pécheur mais à un voleur. Conduit au commissariat de la police judiciaire, il avoua avoir cambriolé une maison vers laquelle il a fini par amener les policiers. Alors que la victime s’apprêtait à aller faire une déclaration au commissariat, surprise pour elle : «madame voici votre voleur, dit un policier» Elle n’en revenait pas et ne comprenait rien. Les policiers lui rendent alors tous ses biens. Le jeudi 18 octobre,  YD a été déféré à la prison de Dar Naim après avoir été entendu par le procureur de république.      

dimanche 30 septembre 2012

Le violeur du 1ER arrondissement arrêté



L’affaire défraie la chronique de la semaine. Une rocambolesque histoire de violeur de nuit qui a crée  une véritable psychose à Nouakchott, notamment au 1ER arrondissement, dans la moughataa de teyarett. Le violeur répondant au nom de M. D originaire de Rosso selon ses révélations, est rentré, tenez-vous bien, tout nu dans la maison puis dans la chambre intime d’un couple, la nuit du 29 au 30 septembre 2012. Le présumé violeur aurait cru que le couple couché  séparément dormait profondément. Subitement, il a foncé directement sur sa cible féminine. Selon nos informateurs, dés qu’il a touché le corps de la femme, cette dernière aurait crié et ce fuit l’alerte maximale dans toute la maison et l’entourage. Pris de panique et constatant que toutes les issues de la maison étaient bloguées il n’avait qu’une seule option, que de se rendre.il fuit maitrisé aussitôt et ligoté comme une bête (voir photo).La police fut alertée et le présumé violeur embarqué pour répondre de son forfait. Il sera sûrement présenté au parquet et mis sous mandat de dépôt.


      suite a la demande de quelque ami(es), j'ai décidé de masquer les visages




















lundi 24 septembre 2012

Exposition : « la route » d’Isabel



Institut Français de Mauritanie organise depuis le 18 septembre dernier, une exposition sur  les œuvres de la dessinatrice portugaise Isabel Fiadero. Cette exposition prendra fin le 11 octobre 2012 et permettra aux visiteurs de comprendre les œuvres de cette portugaise.


L’Institut Français de Mauritanie a organisé le mardi 18 septembre 2012 un vernissage de l’exposition sous le thème « la route » présenté par la dessinatrice  portugaise Isabel Fiadero.
Passionnée d’art et de voyage, le dessin est un excellent moyen pour Isabel  de regarder, raconter les gens et les scènes vécues et découvrir l’autre, elle essaie de révéler sa vérité à  travers son travail de dessinatrice et de peintre.
Pour sa quatrième exposition à l’institut français de Mauritanie, elle a choisi un titre qui  colle parfaitement avec les œuvres exposées. Au regard des différents tableaux, on découvre une peinture de paysages qui parcourent la route reliant Nouakchott à Atar, région où l’on trouve encore quelques anciens villages du temps des caravanes avec leurs oasis et leurs palmeraies.  « Les antennes de télécommunications présentes sur la route témoignent que les hommes sont bien là et communiquent entre eux sans être là » déclare Jany Bourdais, directeur adjoint de l’institut français de Mauritanie avant de poursuivre,
« La peinture Isabel fait  également de la route  d’Atar à Nouakchott un lieu d’expérimentation, de liberté et de révolte face a l’ordre établi. Une façon également d’opérer un retour sur soi, de se questionner sur certaines vérités ou bien sur le fondement de notre société » commente-t-il.
D’origine portugaise, Isabel vit en Mauritanie depuis 2004 où elle expose régulièrement ses tableaux à Nouakchott et dans la sous région. Elle voyage régulièrement à l’intérieur du pays pour dessiner et remplir ses carnets de voyage.


Djigo Souleymane




             

  
                                                                 reportage Photo




































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