samedi 17 décembre 2011

Un Jour pour toi


Une pensée profonde et spéciale pour toi, une empathie particulière pour toi, un sourire radieux pour toi, ce 17 décembre est pour toi , un jour glorieux pour toi , une journée de joie et d’émotion pour toi , une année de plus pour toi , une expérience et une sagesse de plus pour toi , une école spirituelle de plus pour toi , une nouvelle vision du monde pour toi , des nouvelles façades pour toi , un jour d’honneur pour moi d’écrire un poème pour toi , si ma mémoire ne me fait défaut je me souviens toujours le jour ou ont s’est connus , je me souviens toujours de ce geste qui été ordinaire pour toi mais extraordinaire pour moi . tu ne parlais de toi que par les autres , tu étais digne, souriante et gentille avec tout le monde, Craintive vis-à-vis de toutes les blessures. Je te souhaite beaucoup de bonheur,de santé , de prospérité et de réussite, je te souhaite longue vie a toi, et a toute ta famille
Ne laisse personne, jamais Faire de tes qualités des défauts


Tes qualités sont des cadeaux
Donne, et ne demande rien

Joyeux anniversaire Maimouna Dia dite Jenifer

mercredi 16 novembre 2011

Lahbous Ould Oumar : « Je ne suis pas à vendre… »

Lahbous Ould Oumar a convoqué des journalistes de la presse nationale et internationale a l’hôtel khatterdeNouakchott pour une conférence de presse organisée parIRA Ere nouvelle. Dimanche 13 novembre, une dizaine de journaliste répond à l’invitation. Lahbouss, accompagné de quelques jeunes hommes s’installe devant les micros.

Derrière lui, une banderole sur laquelle est marquée « IRA Ère nouvelle contre toute forme de violence et d’extrémisme. » Avant même que le jeune Lahbous ne prenne la parole, on pensait avoir une idée précise de la musique : un nouveau mouvement opposé à IRA Mauritanie et a son présidentBirame Ould Dah ould abeid.

« J’ai été contacté par les auorités mauritanienne pour créer IRA Ere nouvelle et m’opposer aIRA Mauritanie et a son président. Je ne suis pas à vendre ; je ne m’opposerai pas aBiram, le combat qu’il mène est noble… » affirme d’entrée Lahbouss.

Les journalistes présents, à peine remis de la surprise, l’organisateur de la conférence de presse se lève, et, d’un geste brusque, il arrache la banderole accrochée derrière lui en martelant « IRA ère nouvelle ne réussira pas. Ira Mauritanie continuera son combat avec succès, ils ont voulu m’utiliser pour décrédibiliser Biram ; je refuse » Lahbouss Ould Oumar a ensuite sorti un papier de sa poche et l’a déchiré en plusieurs morceaux en disant : « c’est le discours qu’ils ont voulu que je prononce au nom de Ira ère nouvelle … »


Source . Khalilou Diagana

vendredi 11 novembre 2011

Il était matin, à Dakar


Dans les rues de cette capitale pluvieuse, j’ai redessiné ma vie, mes blessures et mes crises. Il faisait gris, il était matin dans ce taxi de mon passé et de mes illusions. Sénégal , en cette aube, même les souvenirs étaient maussades et gris.
Tu étais là, il y a quelques années de cela, disais-je à ma conscience. Le temps est passé, et tant de doutes, et tant de larmes, et tant de silences. Je me parlais tout seul et mon compagnon de route en était surpris. Cela était normal pourtant : je me parlais, tout seul. J’avais tant besoin de m’entendre.
Quelle tristesse ces rues, ce gris, ce matin et les chemins pluvieux de ma vie. Il y aura eu tant de larmes. Personne pour entendre, personne pour dire, personne pour soutenir. Je sais que l’Unique m’a porté et me porte à proximité de ces blessures. Je lui ai demandé Son amour parce que je Lui ai offert, déjà, ma confiance et mon amour. Dans Sa grâce, au détour de mes crises, j’ai su les aveuglements.
Sur les traces de ce passé. Mon cœur a eu mal et ma colère s’est réveillée. On ne donne pas tout de soi à ceux que l’on aime. C’est le secret de la vie, nous ne sommes maîtres de rien, ou de si peu. Je ne l’oublierai pas, je ne l’oublierai plus. S’il plaît au Miséricordieux.
C’ était un matin, dans les rues mouillées de Dakar. La vie et la mémoire me sont revenues. Seul dans un taxi du matin, j’ai eu mal, j’ai eu soudain peur et mes larmes m’ont consolé. Une page de ma vie s’est donc définitivement tournée. C’est certain. Le temps est passé.
Si un jour ces lignes parviennent aux oreilles de ceux qui m’auront enterré, j’aimerais qu’ils s’arrêtent, qu’ils s’inquiètent, qu’ils prient et qu’ils répètent le chant de l’espérance et de l’éternité. La vie est passée et les larmes s’échappent qui prouveront que j’ai bien existé.
Si tu pleures, réjouis-toi. Dans les rues de Dakar, un matin, j’ai appris que le temps s’en est allé, que les larmes peuvent couler et qu’il faut sourire de trouver ici-bas le chemin et la libération. Souris, souris je t’en prie, et entends : Nous sommes à Dieu et c’est à Lui que nous retournons.

dimanche 6 novembre 2011

Des ONG dénoncent l'instrumentalisation de la justice en Mauritanie

La Fédération internationale des Ligues des Droits de l’Homme (FIDH), l’Association mauritanienne des Droits de l’Homme (AMDH), Agir Ensemble pour les Droits de l’Homme (AEDH) etSOS Esclaves, ainsi que des ONG nationales et internationales dénoncent «l’instrumentalisation» de la justice par le pouvoir exécutif en Mauritanie.

Dans une déclaration parvenue dimanche à la PANA, les ONG illustrent leurs accusations par la détention « arbitraire » de Mohamed Lemine Ould Dadde, ancien commissaire aux Droits de l’Homme, à l’Action humanitaire, chargé des relations avec la Société civile et ex-président de l’organisation de la diaspora "Conscience et Résistance" (CR).

Les ONG, qui appellent l’engagement de l’ancien haut responsable mauritanien dans la lutte contre l’esclavage, indique que cette pratique, qui démontre une fois de plus l’instrumentalisation du système judiciaire à des fins politiques ou personnelles, bafoue les droits de la défense ».

Ces organisations « demandent aux autorités de la Mauritanie la stricte application du droit mauritanien et le respect de leurs obligations internationales » vis-à-vis de Mohamed Lemine Ould Dadde qui, rappelle-t-on, a été incarcéré à titre préventif pour un détournement présumé d’environ 1 million de dollars US en septembre 2010.

Sa défense, constituée de Mes Brahim Ould Ebetty et Mohameden Ould Ichidou, se réfère aux articles 136 et 138 du Code de Procédure Pénale (CPP), qui fixent à une année la durée maximale de la détention préventive en matière de délit de détournement, pour réclamer sa remise en liberté et dénoncer une détention «devenue arbitraire depuis le 27 septembre 2011




source : panapress

De retour

Le président Ould Taya est parti, mais nombreux sont ceux qui le soutenaient et qui sont restés. Ayant été écartés des centres de décision et des la direction de haut poste, ceux-là sont finalement revenus sur scène.

Les dernières nominations dans les derniers conseils des ministres, la désignation à la tête de conseil d’administration de direction publique ainsi les petits mouvements du personnel diplomatique, nous donnent davantage de lisibilité dans la véritable essence de ceux qui nous gouvernent.

Nous pensons être aujourd’hui à mesure de tirer des leçons de taille sur le mode de gestion que nous réserve le pouvoir, lequel a décidé de faire du neuf avec du vieux. Manifestement, le président de la République ignore les hommes et les mœurs politiques du pays. Cruelle vérité qui l’a amené à circonscrire ses choix sur les personnes qu’il a connues il y a plus de vingt ans, le cas échéant, sur la progéniture des anciens du Système !

A notre grand malheur, le tour de la vieille garde est revenu. Ils sont enfin parvenus à se hisser, triomphants, au sommet du podium. C’est la " main invisible", le " Système " qui les a tant couvés ce dernier quart de siècle qui a, encore une fois, fait preuve de sa baraka. C’est cette main couveuse, complice et pourtant coupable, tapis quelque part dans une haute officine obscure, qui s’évertue à mettre tout un peuple sous leur coupole.

Pour la nième fois, nous nous contenterons d’épier leurs gestes, de voir la qualité de la"sombre lumière " qu’ils ne tarderont pas à faire jaillir dans l’entourage du Chef. Nous ne nous lasserons pas, la peur au ventre, de surveiller leur petite fortune pour en évaluer l’évolution. Ils sont de nouveau puissants.

Ne l’ont-ils d’ailleurs pas toujours été ? Aujourd’hui plus que par le passé, ils jouissent de ce sentiment de pouvoir, celui de toujours imposer, avec la bénédiction de l’Etat, le mode de gestion et les pratiques décriées de leur groupuscule.

Les malheureuses confrontations tribales qui se sont produites vendredi à l’est du pays sont là pour en témoigner. "Ils ont trouvé une nouvelle opportunité pour tirer les ficelles du jeu. Tels qu’ils étaient connus des Mauritaniens, ces " nouveaux " élus ", ne nous sortiront certainement pas de l’auberge. Espérons seulement qu’ils ne nous replongent pas dans le pétrin

vendredi 4 novembre 2011

Ou est La Justice ?

Le père de Lamine Mangane, du nom du jeune homme tué lors des manifestations de Maghama, demande justice. Cet homme, qui a perdu son fils, a porté plainte contre le patron de la gendarmerie de cette cité. Quant au mouvement "Touche Pas à Ma Nationalité", il continue ses marches de protestation, au moment où les abolitionnistes d’IRA exigent que soit clarifié le dossier devant le procureur de la présumée esclave M’Barka.

Du côté des pouvoirs publics, une carence en communication digne du siècle dernier est toujours affichée: langue de bois. En privé – et un peu en public – les gouvernants reconnaissent que, s’agissant du contesté enrôlement, il y a bien des problèmes qui troublent la quiétude des populations, mais cahin-caha les opérations continuent.

Cette reconnaissance que tout ne va pas comme sur des roulettes s'explique par des campagnes de sensibilisation et d'explication engagées par les organes d'information du régime sur le processus d'enrôlement.

Curieusement, et comme tous les régimes qui l’ont précédé, celui de Mohamed Ould Abdel Aziz utilise une boussole bien peu fiable et une marmite assez vieille qui dément l’adage selon lequel « les veilles marmites font les bonnes sauces ». Le PM Moulaye et son équipe, dont la cuisine n’est plus – l’a-t-elle jamais été ? – appréciée de personne ne se rendent compte que leur plat est sans sel qu’après l’avoir servi…

En tout cas, le manque de vision de nos gouvernants et leur incapacité à prévoir sont à l'origine de ce que vivent les Mauritaniens aujourd'hui. Il est vrai que l’essentiel de nos gouvernants actuels sont issus d'un système qui' n'a pas fini de tirer le pays vers le bas, mettant en mal notre cohésion nationale. Et pourtant, il aurait suffi que Ould Abdel Aziz s’exprime à peu près ainsi pour que bien choses soient aplanies :

"J’ai écouté le peuple et je l’ai entendu. Pendant ma campagne et lors de ma prestation de serment, j'avais juré de servir mon pays... Mon souci est de sortir la Mauritanie de toute instabilité ; mon ambition est d’unir tous les Mauritaniens dans la fraternité, le respect et le progrès... Aux manifestants de Nouakchott, de Kaédi, de Maghama et autres, sachez que vos soucis ne me laissent pas indifférent tout comme ils ne peuvent laisser indifférents les Mauritaniens qui veulent vivre dans la quiétude et la paix…

A tous les Mauritaniens, je demande d’être sereins ; à tous les Mauritaniens je dis : ‘Rien ne sera entrepris contre l’unité de ce peuple ou ses intérêts’… Puisque l’enrôlement en cours inquiète certains et semble ne pas satisfaire d’autres, je le suspends en attendant qu’après explication et consensus, il emporte l’adhésion de tous. Je ne saurais terminer sans présenter mes condoléances à la famille Mangane et mes regrets à tous ceux qui ont souffert – directement ou indirectement – des effets consécutifs à l’enrôlement. A ce titre, une enquête sera diligentée pour situer les responsabilités… Vive l’unité nationale ! Vive la Mauritanie ! » On peut rêver non ?!
source ; cridem

lundi 20 juin 2011

ASSALAMALEKOUM FESTIVAL : La musique et les jeunes à l’honneur

Pour sa quatrième Edition, placé sous le haut patronage du Président de la Communauté Urbaine de Nouakchott Ahmed Ould Hamza, assalamalekoum festival international a tenu toutes ses promesses avec un programme riche et intense. Ce festival est devenu un événement incontournable, un rendez-vous annuel inscrit dans les habitudes des amateurs du Rap de Djing, Slam, Graffiti, Break-dance, Streets basket, Ateliers, Exposition, Conférence, Rencontre etc. Le projet a pour objet de renforcer la dynamique autour des activités musicales et artistiques. Les efforts des organisateurs sont axés sur les besoins des professionnels de la musique notamment le développement des échanges culturels en Afrique afin de consolider un réseau interafricain et de travailler sur des projets d’amélioration de la production, la diffusion et la formation professionnelle. Assalamalekoum Hip Hop festival est à ce jour le seul projet mauritanien qui aille dans cette perspective, comme un outil d’accompagnement pour la promotion et l’exportation de la Musique Mauritanienne et Africaine.

Cette année, le ton du festival a été donné à travers une conférence de presse organisée à l’Institut Français de Mauritanie (Ex. CCF) avec plusieurs rappeurs dont Limam Kane dit Monza qui est l’initiateur de ce prestigieux projet, ainsi le sénégalais Matador, mais également du groupe Danois Veteran Cosmic Rocker et du rappeur franco-sénégalais Sefyu. Une conférence de presse au cours de laquelle les rappeurs ont répondus aux questions des artistes et journalistes venus très nombreux.

Sur le terrain, plusieurs sites ont été installés dans la ville de Nouakchott.

Le programme du jour a débuté avec un tournoi de Street Handi-basket à l’ancienne maison des jeunes, qui cette année est d’ailleurs consacrée aux sportifs victimes d’un handicap, ensuite un vernissage de l’exposition à la galerie de l’Institut Français de Mauritanie et, en fin de soirée un concert d’ouverture qui a débuté avec Désert Devil’s - stagiaire atelier break-danse avec Dou et Ibzi. Le passage sur scène de Dimbé Révolution et de Youpi a impressionné le public, fou d’une grande satisfaction. La puissance de la voix et les rythmes de Ziza qui n’est autre que le vainqueur du prix de la prémiere édition d’Assalamalekoum Découverte 2011. Un featuring mauritano-sénégalo et danois avec Vétéran Cosmic Rocker, West Africa de Matador, Monza, Mustaff ont porté le public à une apothéose grandiose. Et c’est aux environs de 23h 00 que la star tant attendue entra en scène, Sefyu de son vrai nom Youssouf, a été ovationné et bien applaudi du grand public Nouakchottois, et qui n’a nullement démérité. Au lendemain nous avons pu assister à des sessions de Slam contre la traite humaine et des Sketches sur les migrations irrégulières présentées par la Compagnie Théâtre Nomade de Aziz Wane en partenariat avec l’Organisation Internationale pour la Migration (OIM). A sa troisième journée, le festival Assalamalekoum a eté animé par une conference sur le rôle des institutions, des acteurs culturels et des artistes par rapport à la traite humaine sous la présence du directeur de la culture, du responsable de la maison des cinéastes, de Kane Limam dit Monza, et du professeur Cheikh Saad Bouh Camara.

A noter que le Jeudi 16 Juin (quatrième jour), un concert a été organisé au stade Ksar avec la participation de Black Soldat, Yontamen , Soco Clan, Diam Min Tekky , de Would Chaab du Maroc, M.A.M de Suisse , Keur Gui du Sénégal et Rapsus Klei de l’Espagne.

Et C’est dans la nuit du vendredi 17 juin 2011 que le festival Assalamalekoum Hip hop 2011 a fermé ses rideaux avec un troisieme et dernier concert toujours au stade Ksar, les mélomanes mauritaniens ont assiégé tôt les tribunes du stade. Après la brillante prestation de Bads Diom, de Minen Teye , Paco Lenol , Couly Man et de l’Ex-membre du groupe sénégalais Positive Black Soul, Duggy tee. Des artistes et des acteurs culturels ont été honorés lors de la cérémonie de remise des "Prix Assalamalekoum"

Ainsi, le "Prix Assalamalekoum" du meilleur groupe de rap a été gratifié à Diam Min Tekky qui était en compétition avec Ewlade Leblad, MinenTèye et Number One African Salam. Pour celui du meilleur artiste Solo, c’est Waraba qui a accaparé le trophée devant Adviser, Maxi P et Franco Man. Adviser, de son côté, a remporté le meilleur clip vidéo pour son clip "Dog Halla" qui a été privilégié à celui de "Clandestin" de Diam Min Tekky, de "NiaryYone" de Military Underground, de "Miskiine" d’EwladeLeblade.

Le "Prix Assalamalekoum" du meilleur album de rap a été attribué à EwladeLeblade (Adat’ne) devant Diam Min Tekky (Gonga), Military Underground (Au Secours) et MinenTèye (Moro-itanie).

le "Prix Assalamalekoum" de la Révélation du rap mauritanien, il a été remis au rappeur Enfant de la Rue qui a empoché la palme devant Habobé Bassal, Soco Clan et Force Trankil.

Des personnalités et des acteurs culturels ont été primés pour leurs efforts dans la promotion de la culture mauritanienne. Il s’agit de

Ahmed Hamza: Action pour la jeunesse.

Bios Diallo: Action pour la littérature,

Abderrahmane Ahmed Salem : Action pour la culture

Baba Sangaré : Ambassadeur du sport

Maalouma Mint Meydah : Ambassadrice de la musique mauritanienne.

Le Prix Spécial d’icône nationale de la musique mauritanienne a été remis, à titre spécial, à Dimi Mint Abba décédée le 4 juin 2011 au Maroc.

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