dimanche 30 septembre 2012
Le violeur du 1ER arrondissement arrêté
lundi 24 septembre 2012
Exposition : « la route » d’Isabel
Institut Français de Mauritanie organise depuis le 18 septembre dernier, une exposition sur les œuvres de la dessinatrice portugaise Isabel Fiadero. Cette exposition prendra fin le 11 octobre 2012 et permettra aux visiteurs de comprendre les œuvres de cette portugaise.
L’Institut
Français de Mauritanie a organisé le mardi 18 septembre 2012 un vernissage de
l’exposition sous le thème « la route » présenté par la dessinatrice portugaise Isabel Fiadero.
Passionnée
d’art et de voyage, le dessin est un excellent moyen pour Isabel de regarder, raconter les gens et les scènes
vécues et découvrir l’autre, elle essaie de révéler sa vérité à travers son travail de dessinatrice et de
peintre.
Pour sa
quatrième exposition à l’institut français de Mauritanie, elle a choisi un
titre qui colle parfaitement avec les
œuvres exposées. Au regard des différents tableaux, on découvre une peinture de
paysages qui parcourent la route reliant Nouakchott à Atar, région où l’on
trouve encore quelques anciens villages du temps des caravanes avec leurs oasis
et leurs palmeraies. « Les antennes de télécommunications présentes
sur la route témoignent que les hommes sont bien là et communiquent entre eux
sans être là » déclare Jany Bourdais, directeur
adjoint de l’institut français de Mauritanie avant de
poursuivre,
« La peinture Isabel fait également de la route d’Atar à Nouakchott un lieu d’expérimentation,
de liberté et de révolte face a l’ordre établi. Une façon également d’opérer un
retour sur soi, de se questionner sur certaines vérités ou bien sur le
fondement de notre société » commente-t-il.
D’origine
portugaise, Isabel vit en Mauritanie depuis 2004 où elle expose régulièrement
ses tableaux à Nouakchott et dans la sous région. Elle voyage régulièrement à
l’intérieur du pays pour dessiner et remplir ses carnets de voyage.
Djigo Souleymane
reportage Photo
dimanche 23 septembre 2012
Après la pluie les dégâts,a Bagdad et Socogim Ps : reportage Photo
Ces gigantesques flaques d'eau donneront par
ailleurs sans doutes du fil à retordre à
l'opération d'assainissement et d'assèchement des flaques d'eau dans la ville
de Nouakchott, lancé récemment par le président Mohamed Ould Abdel Aziz, visant à donner à la capitale
une image respectable.
Après la
pluie qui s'est abattue, dans la nuit du vendredi à samedi, sur la capitale et
dont la mesure n'a été annoncée que tardivement par les services de la météo,
les habitants de nombreux quartiers de Nouakchott continuent à se plaindre des
eaux stagnantes qui leur rendent la vie compliquée.
La ville de Nouakchott a reçu une forte pluie
d’environ plus de 50mm. Une situation certes réjouissante en cette heure
hivernale mais qui a eu de fortes conséquences à plusieurs niveaux. Au cours de
cette période, le rythme de vie dans la capitale a été bouleversé à cause de
l’inondation des rues des quartiers laissant place à l’insalubrité, les pannes
d’électricité, la cherté du coût des taxis.
Ce décor d’eau
s’est planté un peu partout notamment sur l’axe marché poulet vers le marché 5e
arrondissement sans oublier celui du marché Eff.
A travers ce spectacle désolant créé par la pluie cette
semaine, on peut dire sans risque de se tromper que le chemin reste encore long
pour faire de Nouakchott une capitale digne de ce nom.
L’espace vide entre la cité plage et la mer a cessé d’être un terrain de jeu de football
pour les jeunes à cause de l’eau qui y siège en attendant son évaporation. Du
côté du PMI (dispensaire 5ème), le constat est le même. En effet,
les populations et les malades s’inquiètent de l’insalubrité qui y règne du
fait des eaux stagnante puante. Les abords de ce dispensaire notamment du côté
du laboratoire ont été submergés par
l’eau. Un constat pour dire que la pluie n’a rien laissé sur son passage même
si le soleil tente encore de se frayer un chemin sur un ciel qui reste encore nuageux. Une
situation qui incite une fois de plus à une large modernisation de la ville
comme l’installation par exemple des canaux d’évacuation des eaux.
Djigo souleymane et Mountagha diop
Reportage Photos
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